La Chine supprime ses surtaxes contre le vin australien

La Chine a annoncé jeudi lever les surtaxes qui visaient depuis 2020 le vin en provenance d’Australie, imposées dans un contexte de tensions diplomatiques entre ces deux proches partenaires commerciaux.

Ces surtaxes, mises en place au nom de pratiques anti-dumping supposées, avaient eu pour conséquence de doubler voire de tripler le prix des bouteilles australiennes en Chine. La Chine est un client incontournable de l’Australie, pour ses exportations d’orge, de vin, de viande de boeuf, de charbon et d’autres matières premières, qui représentent une part essentielle de son commerce. Les relations entre Pékin et Canberra ont cependant connu plusieurs années de froid.

En 2018, le gouvernement australien a exclu le groupe télécom chinois Huawei de toute participation au réseau 5G du pays, puis demandé en 2020 une enquête internationale sur les origines du Covid-19. Pékin estimait cette demande motivée politiquement. La Chine avait alors riposté par des mesures de rétorsion visant plus d’une dizaine de produits australiens clé dont le vin et cessé ses importations de charbon. Ces surtaxes contre le vin seront levées à compter de vendredi. Désormais, « il n’est plus nécessaire de continuer à imposer des droits anti-dumping et anti-subvention« , a indiqué le ministère chinois du Commerce, au moment où les relations entre Pékin et Canberra se réchauffent.

Procédure abandonnée
Le dumping, dont Pékin accusait Canberra, est une pratique qui consiste notamment à vendre à l’étranger à des prix inférieurs à ceux pratiqués sur le marché national. La décision chinoise a été saluée jeudi par l’Australie. Elle a déclaré qu’elle abandonnait la procédure engagée contre la Chine auprès de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) à propos des surtaxes contre le vin, qu’elle jugeait sans fondement. Avant leur mise en place, les ventes de vin australien représentaient un chiffre d’affaires supérieur à 1,2 milliard de dollars australiens (728 millions d’euros). Il s’en écoule aujourd’hui pour moins de 10 millions. En août 2023, des surtaxes douanières contre l’orge d’Australie avaient déjà été levées, à la faveur d’un réchauffement des relations entre Pékin et Canberra. Seuls la langouste australienne, le foin et le boeuf provenant de certains abattoirs restent soumis à des restrictions commerciales. Le Premier ministre australien Anthony Albanese s’est rendu en Chine en novembre dernier pour sceller formellement le dégel des relations entre les deux pays. De son côté, le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi a effectué ce mois-ci sa première visite en Australie depuis 2017.

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La Chine supprime ses surtaxes contre le vin australien

La Chine a annoncé jeudi lever les surtaxes qui visaient depuis 2020 le vin en provenance d’Australie, imposées dans un contexte de tensions diplomatiques entre ces deux proches partenaires commerciaux.

Ces surtaxes, mises en place au nom de pratiques anti-dumping supposées, avaient eu pour conséquence de doubler voire de tripler le prix des bouteilles australiennes en Chine. La Chine est un client incontournable de l’Australie, pour ses exportations d’orge, de vin, de viande de boeuf, de charbon et d’autres matières premières, qui représentent une part essentielle de son commerce. Les relations entre Pékin et Canberra ont cependant connu plusieurs années de froid.

En 2018, le gouvernement australien a exclu le groupe télécom chinois Huawei de toute participation au réseau 5G du pays, puis demandé en 2020 une enquête internationale sur les origines du Covid-19. Pékin estimait cette demande motivée politiquement. La Chine avait alors riposté par des mesures de rétorsion visant plus d’une dizaine de produits australiens clé dont le vin et cessé ses importations de charbon. Ces surtaxes contre le vin seront levées à compter de vendredi. Désormais, « il n’est plus nécessaire de continuer à imposer des droits anti-dumping et anti-subvention« , a indiqué le ministère chinois du Commerce, au moment où les relations entre Pékin et Canberra se réchauffent.

Procédure abandonnée
Le dumping, dont Pékin accusait Canberra, est une pratique qui consiste notamment à vendre à l’étranger à des prix inférieurs à ceux pratiqués sur le marché national. La décision chinoise a été saluée jeudi par l’Australie. Elle a déclaré qu’elle abandonnait la procédure engagée contre la Chine auprès de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) à propos des surtaxes contre le vin, qu’elle jugeait sans fondement. Avant leur mise en place, les ventes de vin australien représentaient un chiffre d’affaires supérieur à 1,2 milliard de dollars australiens (728 millions d’euros). Il s’en écoule aujourd’hui pour moins de 10 millions. En août 2023, des surtaxes douanières contre l’orge d’Australie avaient déjà été levées, à la faveur d’un réchauffement des relations entre Pékin et Canberra. Seuls la langouste australienne, le foin et le boeuf provenant de certains abattoirs restent soumis à des restrictions commerciales. Le Premier ministre australien Anthony Albanese s’est rendu en Chine en novembre dernier pour sceller formellement le dégel des relations entre les deux pays. De son côté, le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi a effectué ce mois-ci sa première visite en Australie depuis 2017.

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La Chine a annoncé jeudi lever les surtaxes qui visaient depuis 2020 le vin en provenance d’Australie, imposées dans un contexte de tensions diplomatiques entre ces deux proches partenaires commerciaux.

Ces surtaxes, mises en place au nom de pratiques anti-dumping supposées, avaient eu pour conséquence de doubler voire de tripler le prix des bouteilles australiennes en Chine. La Chine est un client incontournable de l’Australie, pour ses exportations d’orge, de vin, de viande de boeuf, de charbon et d’autres matières premières, qui représentent une part essentielle de son commerce. Les relations entre Pékin et Canberra ont cependant connu plusieurs années de froid.

En 2018, le gouvernement australien a exclu le groupe télécom chinois Huawei de toute participation au réseau 5G du pays, puis demandé en 2020 une enquête internationale sur les origines du Covid-19. Pékin estimait cette demande motivée politiquement. La Chine avait alors riposté par des mesures de rétorsion visant plus d’une dizaine de produits australiens clé dont le vin et cessé ses importations de charbon. Ces surtaxes contre le vin seront levées à compter de vendredi. Désormais, « il n’est plus nécessaire de continuer à imposer des droits anti-dumping et anti-subvention« , a indiqué le ministère chinois du Commerce, au moment où les relations entre Pékin et Canberra se réchauffent.

Procédure abandonnée
Le dumping, dont Pékin accusait Canberra, est une pratique qui consiste notamment à vendre à l’étranger à des prix inférieurs à ceux pratiqués sur le marché national. La décision chinoise a été saluée jeudi par l’Australie. Elle a déclaré qu’elle abandonnait la procédure engagée contre la Chine auprès de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) à propos des surtaxes contre le vin, qu’elle jugeait sans fondement. Avant leur mise en place, les ventes de vin australien représentaient un chiffre d’affaires supérieur à 1,2 milliard de dollars australiens (728 millions d’euros). Il s’en écoule aujourd’hui pour moins de 10 millions. En août 2023, des surtaxes douanières contre l’orge d’Australie avaient déjà été levées, à la faveur d’un réchauffement des relations entre Pékin et Canberra. Seuls la langouste australienne, le foin et le boeuf provenant de certains abattoirs restent soumis à des restrictions commerciales. Le Premier ministre australien Anthony Albanese s’est rendu en Chine en novembre dernier pour sceller formellement le dégel des relations entre les deux pays. De son côté, le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi a effectué ce mois-ci sa première visite en Australie depuis 2017.

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La Chine a annoncé jeudi lever les surtaxes qui visaient depuis 2020 le vin en provenance d’Australie, imposées dans un contexte de tensions diplomatiques entre ces deux proches partenaires commerciaux.

Ces surtaxes, mises en place au nom de pratiques anti-dumping supposées, avaient eu pour conséquence de doubler voire de tripler le prix des bouteilles australiennes en Chine. La Chine est un client incontournable de l’Australie, pour ses exportations d’orge, de vin, de viande de boeuf, de charbon et d’autres matières premières, qui représentent une part essentielle de son commerce. Les relations entre Pékin et Canberra ont cependant connu plusieurs années de froid.

En 2018, le gouvernement australien a exclu le groupe télécom chinois Huawei de toute participation au réseau 5G du pays, puis demandé en 2020 une enquête internationale sur les origines du Covid-19. Pékin estimait cette demande motivée politiquement. La Chine avait alors riposté par des mesures de rétorsion visant plus d’une dizaine de produits australiens clé dont le vin et cessé ses importations de charbon. Ces surtaxes contre le vin seront levées à compter de vendredi. Désormais, « il n’est plus nécessaire de continuer à imposer des droits anti-dumping et anti-subvention« , a indiqué le ministère chinois du Commerce, au moment où les relations entre Pékin et Canberra se réchauffent.

Procédure abandonnée
Le dumping, dont Pékin accusait Canberra, est une pratique qui consiste notamment à vendre à l’étranger à des prix inférieurs à ceux pratiqués sur le marché national. La décision chinoise a été saluée jeudi par l’Australie. Elle a déclaré qu’elle abandonnait la procédure engagée contre la Chine auprès de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) à propos des surtaxes contre le vin, qu’elle jugeait sans fondement. Avant leur mise en place, les ventes de vin australien représentaient un chiffre d’affaires supérieur à 1,2 milliard de dollars australiens (728 millions d’euros). Il s’en écoule aujourd’hui pour moins de 10 millions. En août 2023, des surtaxes douanières contre l’orge d’Australie avaient déjà été levées, à la faveur d’un réchauffement des relations entre Pékin et Canberra. Seuls la langouste australienne, le foin et le boeuf provenant de certains abattoirs restent soumis à des restrictions commerciales. Le Premier ministre australien Anthony Albanese s’est rendu en Chine en novembre dernier pour sceller formellement le dégel des relations entre les deux pays. De son côté, le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi a effectué ce mois-ci sa première visite en Australie depuis 2017.

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La Chine supprime ses surtaxes contre le vin australien

La Chine a annoncé jeudi lever les surtaxes qui visaient depuis 2020 le vin en provenance d’Australie, imposées dans un contexte de tensions diplomatiques entre ces deux proches partenaires commerciaux.

Ces surtaxes, mises en place au nom de pratiques anti-dumping supposées, avaient eu pour conséquence de doubler voire de tripler le prix des bouteilles australiennes en Chine. La Chine est un client incontournable de l’Australie, pour ses exportations d’orge, de vin, de viande de boeuf, de charbon et d’autres matières premières, qui représentent une part essentielle de son commerce. Les relations entre Pékin et Canberra ont cependant connu plusieurs années de froid.

En 2018, le gouvernement australien a exclu le groupe télécom chinois Huawei de toute participation au réseau 5G du pays, puis demandé en 2020 une enquête internationale sur les origines du Covid-19. Pékin estimait cette demande motivée politiquement. La Chine avait alors riposté par des mesures de rétorsion visant plus d’une dizaine de produits australiens clé dont le vin et cessé ses importations de charbon. Ces surtaxes contre le vin seront levées à compter de vendredi. Désormais, « il n’est plus nécessaire de continuer à imposer des droits anti-dumping et anti-subvention« , a indiqué le ministère chinois du Commerce, au moment où les relations entre Pékin et Canberra se réchauffent.

Procédure abandonnée
Le dumping, dont Pékin accusait Canberra, est une pratique qui consiste notamment à vendre à l’étranger à des prix inférieurs à ceux pratiqués sur le marché national. La décision chinoise a été saluée jeudi par l’Australie. Elle a déclaré qu’elle abandonnait la procédure engagée contre la Chine auprès de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) à propos des surtaxes contre le vin, qu’elle jugeait sans fondement. Avant leur mise en place, les ventes de vin australien représentaient un chiffre d’affaires supérieur à 1,2 milliard de dollars australiens (728 millions d’euros). Il s’en écoule aujourd’hui pour moins de 10 millions. En août 2023, des surtaxes douanières contre l’orge d’Australie avaient déjà été levées, à la faveur d’un réchauffement des relations entre Pékin et Canberra. Seuls la langouste australienne, le foin et le boeuf provenant de certains abattoirs restent soumis à des restrictions commerciales. Le Premier ministre australien Anthony Albanese s’est rendu en Chine en novembre dernier pour sceller formellement le dégel des relations entre les deux pays. De son côté, le chef de la diplomatie chinoise Wang Yi a effectué ce mois-ci sa première visite en Australie depuis 2017.

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[Coup de cœur] Melle Chloé, vendanges tardives 2019 du Domaine Al Couderc

Les vendanges tardives version Gaillac, dans l’interprétation du Domaine Al Couderc, deviennent un dessert liquide, dans un écrin de fraicheur.

Le rare cépage loin de l’œil, si spécifique à Gaillac, se vendange principalement à la main et souvent en deux passages pour récolter les raisins au meilleur de leur maturité. Il est vinifié en sec, doux ou vendanges tardives, autorisées au sein de l’appellation Gaillac par l’INAO depuis 2011. Les vendanges tardives Melle Chloé, du Domaine Al Couderc sont le cadeau de Fabien Rouffiac  à sa fille Chloé pour ses 20 ans. L’étiquette évoque son visage mutin dans une esquisse à la Matisse. Ce 100 % loin de l’œil, vendanges tardives de 2019 séduit avec sa couleur jaune brillant, son nez sur les fleurs blanches et le miel. En bouche, il conbine fraicheur et sucrosité bien gérée, jamais débordante.

Son aromatique, sa texture suave le rendent gourmand et facile à boire, à attaquer avec des fromages (roquefort, vieille mimolette) et poursuivre avec le dessert (ananas et autres fruits exotiques) : un dessert liquide !

www.domainealcouderc.com
Melle Chloé, vendanges tardives 2019, 13€

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Un vin d’Alsace en tête du Mondial des vins blancs 

Un vin d’Alsace en tête du Mondial des vins blancs 

Le grand prix du jury du Mondial des vins blancs de Strasbourg a été décerné à un vin français par une jury de 70 experts venus de 26 pays. Comme en 2023, c’est un vin d’Alsace qui est arrivé en tête. 

A l’issue de la 26e édition du Mondial des vins blancs de Strasbourg le 18 mars 2024, le gewurztraminer vendanges tardives 2021 du domaine Ruhlmann a obtenu le Grand Prix du jury avec une note de 96 sur 100. Ce prix est venu récompenser le premier millésime de la nouvelle génération qui a pris les commandes du domaine cette année-là, Thomas et Antoine Schutz avec leur cousin Jacques-Emile Ruhlmann. Lors de la remise de leur trophée, ils ont raconté comment ils avaient appris de leur grand-père les parcelles favorables à la pourriture noble des vendanges tardives. La cuvée lauréate est issue de deux parcelles, une marno-calcaire et une de pur granit, sur le grand cru Frankstein de Dambach-la-Ville (Bas-Rhin) 

©Bartosch Salmanski

La note maximale
Cette année, dans la catégorie Gewurztraminer, les vins présentés étaient d’une telle qualité que l’attribution de la médaille d’Or n’a pu se faire qu’à partir d’une note égale ou supérieure à 90 points, au lieu de 89 habituellement. La note de 96 points est la note maximale attribuée cette année. Sachant qu’il s’agit d’une moyenne et que le système de notation de ce concours n’élimine pas les notes extrêmes, il est vraisemblable qu’au moins un membre du jury a noté à 97 ou 98 ! Les vignobles Ruhlmann Schutz se trouvent à Dambach-la-Ville où la famille est installée depuis 1688 et se distingue par ses belles parcelles en grands crus Frankstein et Muenchberg.  Elle a l’originalité de posséder aussi le Château Valmont en Corbières. 

L’Alsace et la république tchèque
L’année dernière, c’est un autre vin né dans le Bas-Rhin, le sylvaner cuvée Emile 2020 du domaine Xavier Muller à Marlenheim qui avait remporté les suffrages. Il est vrai que le Mondial des vins blancs est né à Strasbourg en 1998 et qu’il était d’abord consacré aux rieslings du monde. En tant que Mondial des vins blancs, il réunit encore la moitié des 651 échantillons en France. Le prix pour le meilleur vin blanc sec a été attribué à Vinarstvi Josef Valihrach s.r.o. de Krumvir, République Tchèque pour son cabernet blanc 2022 : un habitué du concours qui est enfin couronné avec une note moyenne de 93,71/100. Le coup de cœur du meilleur effervescent a été décerné à un autre Alsacien, le crémant d’Alsace brut chardonnay millésime 2019 du domaine Moltès Stéphane et Mickaël à Pfaffenheim

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[Coup de cœur] Melle Chloé, vendanges tardives 2019 du Domaine Al Couderc

Les vendanges tardives version Gaillac, dans l’interprétation du Domaine Al Couderc, deviennent un dessert liquide, dans un écrin de fraicheur.

Le rare cépage loin de l’œil, si spécifique à Gaillac, se vendange principalement à la main et souvent en deux passages pour récolter les raisins au meilleur de leur maturité. Il est vinifié en sec, doux ou vendanges tardives, autorisées au sein de l’appellation Gaillac par l’INAO depuis 2011. Les vendanges tardives Melle Chloé, du Domaine Al Couderc sont le cadeau de Fabien Rouffiac  à sa fille Chloé pour ses 20 ans. L’étiquette évoque son visage mutin dans une esquisse à la Matisse. Ce 100 % loin de l’œil, vendanges tardives de 2019 séduit avec sa couleur jaune brillant, son nez sur les fleurs blanches et le miel. En bouche, il conbine fraicheur et sucrosité bien gérée, jamais débordante.

Son aromatique, sa texture suave le rendent gourmand et facile à boire, à attaquer avec des fromages (roquefort, vieille mimolette) et poursuivre avec le dessert (ananas et autres fruits exotiques) : un dessert liquide !

www.domainealcouderc.com
Melle Chloé, vendanges tardives 2019, 13€

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[Coup de cœur] Melle Chloé, vendanges tardives 2019 du Domaine Al Couderc

Les vendanges tardives version Gaillac, dans l’interprétation du Domaine Al Couderc, deviennent un dessert liquide, dans un écrin de fraicheur.

Le rare cépage loin de l’œil, si spécifique à Gaillac, se vendange principalement à la main et souvent en deux passages pour récolter les raisins au meilleur de leur maturité. Il est vinifié en sec, doux ou vendanges tardives, autorisées au sein de l’appellation Gaillac par l’INAO depuis 2011. Les vendanges tardives Melle Chloé, du Domaine Al Couderc sont le cadeau de Fabien Rouffiac  à sa fille Chloé pour ses 20 ans. L’étiquette évoque son visage mutin dans une esquisse à la Matisse. Ce 100 % loin de l’œil, vendanges tardives de 2019 séduit avec sa couleur jaune brillant, son nez sur les fleurs blanches et le miel. En bouche, il conbine fraicheur et sucrosité bien gérée, jamais débordante.

Son aromatique, sa texture suave le rendent gourmand et facile à boire, à attaquer avec des fromages (roquefort, vieille mimolette) et poursuivre avec le dessert (ananas et autres fruits exotiques) : un dessert liquide !

www.domainealcouderc.com
Melle Chloé, vendanges tardives 2019, 13€

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