[Hors-série] Spiritueux : « le bon esprit » dans vos kiosques

Le hors-série annuel de Terre de Vins intégralement dédié aux spiritueux arrive cette semaine dans les kiosques. Un opus qui célèbre entre autres les 40 ans du whisky français et amorce un feuilleton là où tout a commencé : la Bretagne. Mais du Japon à l’Écosse, de l’armagnac au cognac, du rhum réunionnais à l’alcool d’agave, c’est tout un monde foisonnant qui vous attend dans ce hors-série.

Il y a deux ans, Terre de Vins lançait son premier hors-série 100% spiritueux. Une façon d’ouvrir aux amateurs de vin de nouveaux horizons vers un univers passionnant et foisonnant, celui des alcools distillés et autres liqueurs qui connaît actuellement une véritable renaissance. De renaissance, il est beaucoup question dans ce troisième hors-série qui arrive cette semaine dans les kiosques. La filière des spiritueux français, en particulier, est en constante réinvention, avec un armagnac qui ne cesse de séduire de nouveaux amateurs tout en restant fidèle à sa tradition millénaire (voir notre reportage « Retour de flamme » sur la période de la distillation qui bat actuellement son plein) ; avec un cognac qui appuie sa réussite sur la puissance de grandes maisons mais aussi sur des entités plus confidentielles ou familiales explorant des terroirs comme les Fins Bois (voir notre escapade « Question de souplesse ») ; avec un rhum qui témoigne du savoir-faire de nos départements et territoires d’outre-mer, comme en atteste notre sujet consacré à la distillerie réunionnaise Isautier ; avec, enfin, la montée en force du whisky français, qui célèbre ses 40 ans cette année.

De la Bretagne au Japon, en passant par le Mexique
Pour fêter cet anniversaire hautement symbolique, ce hors-série entame un feuilleton qui explorera, sur plusieurs numéros, les différentes régions de l’Hexagone productrices de whisky. Et c’est en Bretagne, là où tout a commencé, que démarre ce voyage malté. De whisky, il est également question à travers des articles qui nous emmènent de l’Écosse (reportage sur l’île d’Arran, portrait de John Glaser, fondateur de Compass Box) au Japon (sujet sur les 100 de la distillerie pionnière Yamazaki, fleuron du groupe Suntory). Ce hors-série nous invite aussi à découvrir les secrets de l’agave, qui donne naissance à la tequila et au mezcal. Enfin, on passe à table du côté d’Orléans, dans un établissement où les accords mets & spiritueux sont concoctés avec soin.

Des actualités, des dégustations, des femmes et des hommes qui innovent et font (re)vivre des traditions : c’est tout le contenu de ce hors-série qui s’installe résolument comme un rendez-vous incontournable pour les lecteurs de Terre de Vins.

Terre de vins hors-série Spiritueux, 108 pages, 7,90 €. Abonnez-vous en suivant ce lien.

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La Bourgogne et ses AOP régionales à la conquête du Bordelais

Le Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne (BIVB) donnait lundi soir à Bordeaux le coup d’envoi du « Grand Bourgogne Tour », événement interactif pour faire (re)découvrir à une cinquantaine de professionnels les vins de ses AOP régionales.

Mâcon-Lugny, Bourgogne Coulanges-La-Vineuse, Bourgogne Côte d’Or… dans le sillage des Grands Crus bourguignons parfois inaccessibles financièrement, se cachent des AOP régionales qui ne demandent qu’à prendre la lumière pour démontrer tout leur potentiel. C’est dans cet esprit que le BIVB a imaginé son « Grand Bourgogne Tour », une soirée découpée en trois temps forts pour les cavistes, sommeliers et restaurateurs avec « 24 vins potentiels à mettre sur leur carte » dixit Delphine Petit, responsable Marketing & Communication au BIVB et responsable de l’événement. 

Une valse à trois temps
Six de ces vins, dont un mystère qu’il fallait deviner, ont ouvert le bal à travers une master class interactive co-animée par Thierry Dorge, formateur en vins de Bourgogne au BIVB, et Michel Barraud, vigneron et président de la cave des Terres Secrètes. L’occasion de percer quelques-uns des secrets les mieux gardés de Bourgogne, comme l’explique Thierry Dorge. « La Bourgogne brille par son excellence, par ses Grands Crus et Premiers Crus, par ses noms qui sont connus et reconnus. Mais parfois, sans pour autant faire de l’ombre, ces Grands Crus « empêchent » de découvrir la multitude d’appellations et dénominations géographiques bourguignonnes qui sont pourtant elles aussi conduites de la même façon, avec des sélections parcellaires très fines, très précises. » 

Après un temps d’échange ludique et interactif autour de la « Fresque des Terroirs », une carte thématique pour mieux comprendre la Bourgogne d’hier, d’aujourd’hui et de demain, quinze nouveaux vins sont entrés en scène, le temps d’une dégustation libre animée par Xavier Lacombe, dégustateur, formateur et rédacteur spécialisé. À travers ces bouteilles, c’est une nouvelle face de la Bourgogne qui s’est dévoilée, avec notamment un Bouzeron « Les Fias » 2019 du Domaine Roux Père & Fils, une ode à l’aligoté, « l’autre cépage blanc de la Bourgogne » produisant lui aussi de très jolis vins. Enfin, un cocktail alliant trois nouveaux protagonistes, un Mâcon-Milly-Lamartine, une Viré-Clessé et un Bourgogne Côte d’Auxerre, ainsi que des bouchées gastronomiques street-food a permis d’étaler la palette d’accords mets-vins permise par ces nectars et démontrer leur capacité à trôner sur les meilleures tables.


Opération séduction réussie
Cette opération séduction était donc la première étape d’une tournée nationale qui traversera sept villes. Elle s’inscrit dans une volonté du BIVB de mettre sur le devant de la scène des vins qui le méritent, comme le raconte Delphine Petit. « Ce Grand Bourgogne Tour est pour nous une occasion unique de rencontrer nos prescripteurs et de leur proposer des gammes de vins différentes qui peuvent représenter pour eux de belles opportunités. En organisant un événement comme celui-ci avec de la théorie, de l’interactivité et de la dégustation, nous amenons un côté décomplexé qui je l’espère, a pu convaincre le plus grand nombre ». Son vœu a semble-t-il été exaucé puisque côté prescripteur, le plébiscite est total, à l’image de Lin Chong, fondatrice du grossiste en vins B&C Best Wines, et son associée Cong Bu. Arrivées en 2011 à Bordeaux en provenance de Chine, elles ont progressivement fait entrer les vins de Bourgogne dans leurs stocks « surtout depuis 2-3 ans » au point qu’ils représentent aujourd’hui plus d’un tiers de leurs achats. Et si elles ont plutôt l’habitude de se tourner vers les premiers et grands crus, la soirée leur a offert de belles découvertes, à l’image de leur coup de cœur, un Rully « Montmorin » 2021 du Domaine Jean Chartron en blanc, « un vin offrant une belle minéralité, complexe, bien structuré avec une belle longueur en bouche » qu’elles envisagent de proposer très prochainement à leurs clients. 

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Penfolds mise sur la Place de Bordeaux

À l’aube de fêter ses 180 ans en 2024, le géant australien Penfolds renforce sa présence sur la Place de Bordeaux en y introduisant six cuvées iconiques de sa gamme Prestige. Une montée en puissance qui confirme aussi l’intérêt d’une négoce bordelais pour les grandes marques internationales.

De plus en plus de grands domaines internationaux (Italie, Californie, Amérique du Sud, Espagne, Afrique du Sud et… Australie) passent par la Place de Bordeaux pour assurer leur commercialisation dans certains marchés ultra précis. Le savoir-faire du négoce bordelais n’est plus à prouver, et ce savoir-faire ne saurait se limiter aux grands crus girondins : les plus beaux vins du monde doivent pouvoir en bénéficier. C’est un mouvement de fond qui se constate depuis quelques années et auquel participe le géant incontournable du vin australien, Penfolds, qui était jusqu’ici présent sur la Place de Bordeaux avec une seule référence (Bin 169 Coonawarra) et qui renforce cette présence à partir de janvier 2024 avec l’introduction de six nouvelles cuvées de sa gamme Prestige (Grange, Ya arna Bin 144 Chardonnay, Bin 707 Cabernet Sauvignon, Bin 798 RWT Shiraz, Bin 169 Cabernet Sauvignon et St Henri Shiraz) pour commercialisation sur la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique).

« La croissance exceptionnelle de ces dernières années sur la région EMEA témoigne à la fois de la qualité de nos vins, mais également du travail remarquable de nos partenaires commerciaux » explique Daevid Warren, directeur des ventes de Penfolds EMEA, dans un communiqué. « Cependant, il reste un grand potentiel à développer pour Penfolds dans la région EMEA qui reste la plus importante au monde pour les vins d’excellence. Alors que Penfolds souffle sa 180e bougie nous cherchons à faire passer la marque au niveau supérieur pour accéder au statut d’icône mondiale du luxe dans l’univers du vin. Nous sommes donc ravis de renforcer la liste de nos partenaires en travaillant avec le courtier Excellence Vin, expert historique reconnu pour l’introduction des grands vins du monde sur la Place de Bordeaux. »

Célèbre pour sa vaste gamme de vins, Penfolds, sous la houlette de son talentueux winemaker Peter Gago, ne se prive pas de multiplier les expérimentations audacieuses, lorgnant tantôt vers la Champagne avec Thiénot, vers la Californie ou vers Bordeaux pour des assemblages qui bousculent les hémisphères.

Pour rappel, Penfolds est l’une des marques phares du groupe Treasury Wine Estates, qui a fait ces dernières années plusieurs acquisitions majeures dans le Bordelais – les châteaux Cambon La Pelouse, Belle-Vue, Bolaire, Gironville, et Lanessan.

Et comme l’actualité de Penfolds est décidément riche en cette fin d’année (elle le sera aussi manifestement en 2024), on salue l’arrivée sur le marché français du millésime 2021 de la cuvée Bin 389, souvent qualifiée de « petit frère du Grange », LA cuvée ultra-iconique de Penfolds – elle doit notamment ce surnom au fait qu’elle est élevée dans d’ex-fûts de Grange. Il s’agit d’un assemblage cabernet-sauvignon (53%) et shiraz (47%), issu de différentes parcelles de McLaren Vale, Coonawarra, Barossa Valley, Wrattonbully, Padthaway. On y retrouve tout l’art de la maison lorsqu’il s’agit de composer des vins à partir de différentes origines, pour signer un jus à la fois puissant et droit, gorgé de l’opulence épicée et capiteuse que l’on attend d’un vin d’australien, mais gainé par la belle définition tannique et la longueur d’un cabernet racé. Un vin riche et complexe, qui aura toute sa place sur vos tables de fêtes. Prix indicatif 89 €.

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[Entretien] Laurent Fortin « L’incertitude de la géopolitique »

A toutes les époques, le marché du vin a été suspendu aux aléas de la géopolitique. Aujourd’hui, entre la guerre en Ukraine et celle de Gaza, la situation est plus que sensible. Laurent Fortin, à la fois directeur général du Château Dauzac et consul honoraire d’Ukraine en Nouvelle-Aquitaine, nous délivre ses actes et sa vision. 

En tant que consul honoraire d’Ukraine en Nouvelle-Aquitaine, vous avez très vite lancé un appel à la solidarité, pouvez-vous nous livrer le résultat de cette démarche ? 
Nous avions organisé avec le concours de IdealWine – qui fut pivotal dans cette organisation – une vente aux enchères avec des vins de nombreuses régions de France pour un total de 75 000 €. D’autres donations par des particuliers furent également réalisées, nous avons donc réussi à collecter plus de 100 000€ pour l’Ukraine et les déplacés Ukrainiens en région Nouvelle-Aquitaine.

Quelle est la place du Château Dauzac dans cette région du monde ? 
Nous sommes présents en Ukraine, Pologne, Moldavie, etc., mais il est évident que les ventes ont baissé à la suite de la guerre en Ukraine et cette guerre va durer, Poutine est un dictateur qui veut aller au bout de ses ambitions. Après l’Ukraine, il peut très bien s’attaquer à un pays de l’Europe. Concernant le marché du vin, l’incertitude en Pologne se traduit par une baisse des ventes, c’est mathématique. 

Plus largement, le marché du vin est suspendu à la géopolitique, comment voyez-vous évoluer ce marché dans les prochains mois ? 
Les dommages collatéraux des guerres se font ressentir bien au-delà des zones de conflits. J’ai parlé de la Pologne, prenez le conflit Israël-Palestine, et bien les ventes de vins casher aux USA ont baissé, c’est encore une fois l’incertitude qui fait que les gens consomment moins.

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Quand le Bacchus Business Club se retrouve au cœur d’un 1er Grand Cru Classé « A » …

Ce n’est pas tous les jours que les portes du prestigieux Château Pavie, Saint-Émilion 1er Grand Cru Classé A, s’ouvrent. En novembre, les membres du Bacchus Business Club de Bordeaux ont pu le visiter, y dîner, et rencontrer la famille Perse avec la présence à leur côté du chef étoilé Yannick Alléno. 

« Un moment unique » ce sont par ses mots que Jack Bouin, président du Bureau du club de Bordeaux et ancien Directeur Général du Crédit Agricole Aquitaine, introduit la soirée. Après un apéritif autour du champagne Charles Heidsieck Blanc de Blancs et la visite de la propriété, les 88 membres du Club Bordelais se sont installés pour savourer un dîner sublimé par les vins parmi les plus grands de Bordeaux, ceux du château Pavie.

Un diner Classé A
Le Château Monbousquet 2019 en Bordeaux Blanc est servi pour introduire le dîner. « Monbousquet c’est l’origine de l’histoire viticole de la famille Perse. Monbousquet était en Saint-Emilion Grand Cru quand nous l’avons acheté en 1993, et qui à force de travail est passé en Grand Cru Classé en 2006. Un jour, il fallait retravailler une parcelle et choisir le cépage à planter. Nous sommes finalement partis sur quelque chose d’atypique, planter du blanc même si l’appellation ne l’autorise pas. Nous ferons du Bordeaux Blanc, sur un terroir de Saint-Emilion. C’est le premier vin blanc produit à Saint-Émilion. Ce 2019 est gourmand, très aromatique et sur les fruits exotiques. » relate Henrique da Costa, gendre de la famille Perse et Président directeur général du Château Pavie

Un millésime mystère du Château Pavie est servi avec le plat. Un mignon de veau rôti avec une mousseline de carottes des sables et spirale de cèleri. C’est Astrid Brabant, directrice commerciale de Millésima qui procède au tirage au sort parmi les 9 membres ayant trouvé la bonne réponse, un remarquable millésime 2005 qui avait reçu 100 points lors des dégustations. Annica Landais-Haapa, juriste du vin, remporte le challenge et une bouteille de Pavie 2005 « pour réviser à la maison » s’amuse Henrique da Costa. Philippe Tuzelet, patron de la Safer Nouvelle-Aquitaine, remporte la seconde bouteille. 

L’assiette de 3 fromages est accompagnée du Château Pavie 2000, « c’est une bombe entre la main que nous avons là. Nous n’avons pas tous l’occasion de déguster un Pavie 2000, noté 100/100. Nous sommes gâtés  » prévient Rodolphe Wartel directeur général de Terre de vins. « 2000 a réuni beaucoup de conditions pour qu’il soit bon. Ce millésime est très beau. Nous avons de la gourmandise dans ce vin, mais aussi beaucoup de fraîcheur, de la tension, des tanins au grain soyeux et une persistance aromatique magnifique qui reste en bouche. C’est extraordinaire. » complète Henrique da Costa. 

« Cette année, nous fêtons les 25 ans de Pavie, et je me suis dit que ce serait bien de faire une rétrospective des 100 points que nous avons obtenus. Si on fait le totale des propriétés (Château Pavie, Château Monbousquet, Château PavieDecesse, Château Bellevue-Mondotte) nous avons reçus 25 fois les 100 points. » se réjouit Gérard Perse.

Un finish sur des whisky français
Trois éditions particulières sont servies avec le buffet de mignardises. Des whisky Bellevoye par les Bienheureux à la finition Calvados, prune, et Tourbé.

©Solène Guillaud

Enchères pour l’Association Antoine Alléno
Il a décroché toutes les étoiles, et est l’un des chefs au monde les plus distingués avec deux restaurants triplement étoilés. Il joue au Château Pavie un peu à domicile, avec la Table de Pavie, deux étoiles au Guide Michelin, Yannick Alléno évoque avec les membres du club ses souvenirs d’enfance, ses formations, son parcours de chef, et la création en 2008 du Groupe Alléno. Et puis le 8 mai 2022 … Antoine Alléno, son fils, est fauché par un chauffard ivre au volant d’une voiture volée. Au lendemain de cette disparition insupportable, Yannick Alléno fonde l’Association Antoine Alléno afin d’aider les familles qui ont perdu un enfant de moins de 25 ans à se reconstruire.

L’Association organise ainsi une vente privée caritative de 15 lots exceptionnels offerts par de très nombreux vignerons et 180 chefs étoilés du monde entier, dont les enchères, se dérouleront au Pavillon Ledoyen le 12 décembre. Cette vente sera complétée par une vente en ligne de 210 lots du 7 au 17 décembre.

Les fonds récoltés seront intégralement reversés à l’Association dans l’objectif de subvenir aux besoins des victimes, et de financer les nombreux projets en cours.

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[Avent du vin] Nos idées de calendriers à J-3

À quelques jours de l’ouverture des calendriers de l’Avent, « Terre de vins » vous propose une nouvelle sélection variée pour enchanter votre mois de décembre en attendant Noël. Entre champagne, bière, accords mets-vins, et rhum, tous les goûts seront comblés !

Le calendrier du champagne Piot-Sévillano
Qui dit fêtes de fin d’année dit forcément champagne ! Alors pour trinquer au son des bulles sans attendre le réveillon, voici le calendrier 100 % champagne signé Piot-Sévillano. Vignerons indépendants, Christine Sévillano et son associé Vincent, vous proposent de découvrir la large gamme de bulles de la maison basée à Vincelles. Ce sont au total 13 cuvées différentes que vous pourrez retrouver au format quart de bouteille (20 cl) dans les 24 cases du calendrier, avec notamment 2 cuvées inédites ainsi qu’une autre habituellement destinée aux professionnels. 
Prix indicatif : 239 €
piot-sevillano.com 

Le calendrier de l’Avent accords mets et vins V&B
Le mois de décembre est généralement synonyme de retrouvailles débouchant sur des repas et apéritifs entre amis ou en famille. Pour passer ces moments dans les meilleures conditions, V&B a imaginé un coffret mets et vins comprenant vins et terrines apéritives. Sur 4 cases consécutives, vous découvrirez 3 vins en tube en verre de 10 cl ainsi que la terrine qui se marie le mieux avec. Ce sont donc au total 18 vins, de toutes les couleurs et toutes les régions viticoles, ainsi que 6 terrines qui n’attendent qu’une seule chose, vous faire plaisir et vous offrir de savoureux moments.
Prix indicatif : 79.95 €
vandb.fr 

Le calendrier des meilleures bières Une Petite Mousse
Pour varier les plaisirs et sortir des chemins vinicoles, voilà un calendrier bière qui saura combler les amateurs. Et pour cause, Une Petite Mousse a concocté une sélection de haut vol : 24 bières artisanales toutes inédites, françaises en grande majorité, mais aussi belges, irlandaises, danoises, polonaises, croates, estoniennes et espagnoles. Ce petit tour d’Europe vous offre une large diversité que vous pourrez découvrir en détails à travers un « biérologue interactif » à scanner. Ce QR code vous donne accès à un chat interactif avec une présentation de chacune des bières, ainsi que des notes de dégustation, des anecdotes sur les produits et des suggestions d’accords culinaires. 
Prix indicatif : 69.95 €  
unepetitemousse.fr

Le calendrier 24 nuances du Rhum de Boutique Rhum
Les passionnés de spiritueux ne seront pas en reste ! Après un calendrier 100 % whisky dans notre première sélection de calendriers, en voici un dédié au rhum. « 24 nuances de Rhum » vous fera passer par les terroirs français comme la Guyane et la Martinique, mais également par Cuba, la Barbade, la Jamaïque ou encore le Vénézuela. Ce tour du monde comprend 24 flacons de 10 ml et promet la découverte de belles pépites, mais aussi de certaines cuvées d’exception à l’image du Diplomatico Single Vintage ou encore le Damoiseau 12 ans. 
Prix indicatif : 133 €
boutique-rhum.com 

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Nord-Sud, France-Belgique, ça match !

C’est en découvrant la cuvée « Guerrières » que le parcours de la famille De Boel France nous a intrigué. Entre Saint-Joseph et Côtes du Rhône Villages Sainte-Cécile, Nelly et Arnaud font le grand écart. Leur ligne de conduite, par contre, est bien droite.

Nelly la Bretonne et Arnaud le Belge se sont rencontrés en Nouvelle-Zélande. L’histoire d’amour s’est poursuivi en France, les deux amateurs de syrah et marsanne choisissant le nord de la Vallée du Rhône pour travailler dans différents domaines. L’installation définitive se fait en 2016 avec l’acquisition d’une ferme, entourée d’un hectare d’IGP, au-dessus de Tournon, sur les hauteurs de Saint Joseph. Ils restent doubles actifs jusqu’à ce que leur bonne étoile et de belles rencontres leur amènent quelques parcelles supplémentaires sur les AOC Saint-Joseph et Cornas, mais également dans le Vaucluse, à Sainte-Cécile-les-Vignes et Uchaux. Dans le Sud, le grenache est roi et les vieilles vignes sont plus faciles à trouver et à acquérir. 

Travaillés en biodynamie (Demeter), les 9 hectares sont vendangés à la main et transportés en camion frigo dans leur cave ardéchoise. « Une sacrée gymnastique » confesse Nelly. « C’est enrichissant pour nous  d’avoir d’autres terroirs, plat au sud, en coteaux au nord, la philosophie est différente ». L’appellation Massif d’Uchaux entourée de bois, est un bonheur pour les deux vignerons qui apprécient son terroir et la fraîcheur des vins. « En 2021, durant l’épisode de gel, nos parcelles n’ont pas été touchées. Face au réchauffement climatique, il faut trouver des solutions ». D’où l’idée de transposer ce biotope dans la partie septentrionale en favorisant l’agroforesterie. Entre défrichage et conservation des vieux arbres et autres îlots d’arbustes, Nelly et Arnaud bouturent et plantent des variétés anciennes de fruitiers.

À la cave, les vinifications sont le plus naturelles possible, avec levures indigènes et un peu de soufre, en cuves inox et vieux fûts de chêne. Depuis, dolia en terre cuite et œufs en grès ont complété le dispositif d’élevage. « La première année, nous avons vinifié séparément nos parcelles pour comprendre notre parcellaire. Nous nous sommes lancés dans la recherche de fraîcheur. Nous faisons des essais d’enherbements, de couverts végétaux. Les vignes sont pâturées par des moutons, mais aussi de la volaille ».  Leur gamme est commercialisée chez les cavistes, bistrots et restaurateurs, en Franc et à l’export, dans une douzaine de pays.  

Les 2 coups de cœur de Terre de Vins 

Guerrières – Le meilleur de nous – Côtes du Rhône Villages Sainte-Cécile 2022 16€
Grenache 50%, syrah 40%, carignan 10%. La densité et la richesse des mûres et des cassis mêlés de prune qui commence à compoter, s’épanouissent en bouche dans un jus frais. Équilibre, justesse et précision, vif avec une pointe d’épices en finale. A savourer aussi le texte de la contre étiquette remettant en place quelques idées préconçues…

Aleph – Côtes du Rhône Villages Massif d’Uchaux 2022 18€
60 % de syrah et 40 % de grenache avec une élevage en demi-muids (7 ans) et dolia (10 mois). Des fruits noirs entêtants, de l’olive noire, de la réglisse, au nez et en bouche. Soyeux, tendre, les tanins sont tout en finesse offrant une belle fraîcheur. Une aération prolongée lui ouvrira encore plus ses chakras.

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Champagne Castelnau : « Vers une augmentation de 50% des ventes »

La Maison avait présenté sa nouvelle plateforme de marque il y a six mois. Elle annonce aujourd’hui un partenariat avec l’Union des Sommeliers de France. Nous avons interrogé Hannelore Chamaux, sa nouvelle directrice générale, pour mieux comprendre les enjeux de ce repositionnement initié à la suite de la fusion de la CRVC et du Centre vinicole Nicolas Feuillatte.

Comment a été reçu le nouveau positionnement de la marque Castelnau dévoilé au mois de Juin 
Nous avons obtenu un vrai succès. Notre nouveau positionnement a été d’autant mieux apprécié des journalistes et des professionnels qu’il est en parfaite cohérence avec ce que sont nos vins. Nous nous acheminons vers une augmentation de 50 % de nos ventes, sachant que l’année dernière nous étions à 435.000 cols. De 6,7 millions d’euros de chiffre d’affaires, nous allons passer la barre des 10 millions d’euros. Si la Champagne subit en ce moment un recul, nous n’en ressentons pas l’impact. Nous sommes une marque ancienne qui est en train d’être redécouverte. Notre positionnement plaît, avec un prix d’entrée aux alentours de 35 euros qui reste très raisonnable pour la qualité. De la part des revendeurs, il n’y a d’ailleurs aucun débat, ce qui montre que nous sommes bien ajustés. J’ajoute que notre progression est très homogène sur tous les réseaux, cavistes comme restauration, marché français comme exportation, en sachant que ce dernier constitue 60 % de nos ventes et représente encore un boulevard pour nous. 

Assiette Champenoise ©agencediscovery

Comment décririez-vous ce repositionnement ?
L’objectif de notre marque consiste à œuvrer à l’exploration d’un autre volet de l’appellation. Le champagne est connu pour la célébration. Mais, pendant longtemps, le côté vin a été oublié du public. Castelnau est là pour développer davantage cette dimension, faire apprécier le champagne en tant que vin, dans des moments plus intimes, des dégustations où l’on va prendre le temps entre amis. Cette manière de consommer correspond tout à fait à nos champagnes qui sont des cuvées de longue garde, avec, ne serait-ce que pour le BSA, cinq ans d’âge. On ne déguste pas un champagne Castelnau comme ces cuvées plus légères, un peu moins aromatiques, que l’on boit dans les cocktails. Il faut se poser, prendre le temps. Notre marque vient travailler ce segment, qui est en fin de compte, dans le champagne, assez récent, et qui s’intéresse beaucoup aux accords mets/vins. Il y a peu encore, champagne rimait avec dessert, depuis, on est passé à l’apéritif, et désormais on repart vers le repas. Nous avons la chance d’avoir cette expérience du vieillissement et de posséder une œnothèque extraordinaire. Grâce à ce trésor, nous pouvons nous adresser à des épicuriens. Je souhaite que d’ici dix ans, nous soyons définitivement ancrés parmi les grandes références des amateurs de fine wines et des collectionneurs. Nous voulons ainsi démontrer de manière plus large, que les coopératives elles aussi, peuvent élaborer des vins de haute précision, au même titre que les maisons ou les vignerons indépendants. Le travail sur les vins ayant déjà été réalisé, cela passe aujourd’hui par la distribution. Nos vins ont besoin d’avoir quelqu’un à côté d’eux. Si on se contente de les exposer dans les rayons, leur histoire, toute l’énergie que Carine Bailleul, notre cheffe de caves, met dans ses cuvées, tout ce temps qu’il a fallu attendre pour qu’ils voient enfin le jour, tout cela échappera au consommateur. D’où notre choix exclusif des circuits traditionnels. Notre place est chez les cavistes et chez les restaurateurs qui ont des sommeliers et peuvent conseiller, expliquer…. Voilà pourquoi ce partenariat avec l’Union des Sommeliers de France dans lequel nous venons de nous engager nous paraissait si cohérent.

Justement, en quoi va consister ce nouveau partenariat avec l’Union des Sommeliers de France ?
L’UDSF a un nouveau président, Fabrice Sommier, qui a pour objectif de faire évoluer un peu l’association. Tout en maintenant l’objectif de formation, il souhaite changer la perception que l’on peut avoir du monde de la sommellerie, qui peut paraître un peu distant. Il s’agit de comprendre comment les sommeliers peuvent se rapprocher de leurs clients, comment ils peuvent transmettre de la technicité sans être trop techniques. Notre cheffe de caves, Carine Bailleul, maîtrise très bien cet art, grâce à la poésie dont elle fait preuve dans ses explications. Tout en étant à la pointe de la recherche et de la technicité comme on l’a vu récemment à travers son partenariat avec le Professeur Gérard Liger-Belair, elle sait en même temps rester très accessible dans ses propos en recourant aux images. Nous accompagnerons également les sommeliers dans leur formation sur la partie champagne, en prenant Castelnau comme porte d’entrée pour ensuite leur faire connaître toute la globalité et la diversité de l’appellation. Je pense que notre œnothèque sera un formidable outil pédagogique pour les aider à comprendre tous les mécanismes du vieillissement du champagne et la multiplicité des accords auxquels cela peut conduire. Nous aurons sur ce sujet tout un travail de workshops à la fois sur des accords insolites mais aussi plus classiques. Enfin, ils ont leur équipe de France pour aller gagner le titre de meilleur sommelier du monde et là aussi nous allons participer à la Team France sur la partie champagne !

Assiette Champenoise © agencediscovery

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Saint-André : on fête l’Écosse avec 5 whiskys

Ce jeudi 30 novembre, jour de la Saint-André, les Écossais célèbrent leur fête nationale, en hommage à leur saint-patron. L’occasion de sélectionner quelques whiskys, à savourer au son des cornemuses et si possible en kilt.

Le calendrier faisant bien les choses, cette semaine est aussi celle de la sortie en kiosques du hors-série spiritueux de « Terre de Vins », où l’Écosse occupe une place de choix, entre un reportage sur l’île d’Arran et un portrait de John Glaser, fondateur de Compass Box. Vous y trouverez aussi une sélection de quelques malts écossais, dont certains sont repris ici, en compagnie de deux inédits. Ces whiskys ont en commun de présenter des profils assez fédérateurs, qui pourront séduire les dégustateurs débutants souhaitant se « faire le palais » comme les amateurs chevronnés. Comme on dit en Écosse au moment de trinquer, « Sláinte » !

Highland Park15 ans « Viking Heart » (130 €)
Direction les Orcades pour découvrir l’un des derniers nés de Highland Park, la plus septentrionale des distilleries écossaises – et l’une des doyennes aussi, puisqu’elle remonte à 1798. Dans un flacon en céramique qui se veut un hommage aux contenants en faïence historiques retrouvés à la distillerie, se trouve une sélection minutieuse réalisée par le Master Distiller Gordon Motion de jus ayant bénéficié d’un élevage en fût de chêne ex-sherry européen de premier remplissage, ainsi que de fûts de chêne ex-sherry américain et de fûts de second remplissage. Une intensité caressante (cannelle, miel, cassonade, citron confit) vient enrober de fines notes tourbées. C’est du velours.
www.highlandparkwhisky.com

The Balvenie12 ans Doublewood (65 € coffret avec 2 verres pour les fêtes)
Lorsqu’on parle de « grand classique », voici un whisky qui pourrait revendiquer aisément ce titre. C’est une référence iconique de la distillerie : 12 ans en fûts de chêne traditionnels, puis finish 9 mois en fûts d’oloroso. Du moelleux, une bouche confortable mais pas pesante, dotée d’une jolie clarté de bois blond, de fins amers de peau d’orange sur un matelas de cannelle. Un sherry nappant, rassurant mais pas omniprésent, une touche de réglisse et de girofle sur la longueur, du caramel au beurre salé. Finale en dentelle.
fr.thebalvenie.com

Aberlour18 ans (120 €)
Aberlour est le single malt le plus vendu en France. Fleuron du groupe Pernod Ricard, il déroule sa partition sans fausse note, peut-être de façon trop consensuelle diront les puristes ? Toujours est-il que ce 18 ans est un véritable tapis de billard. Du confort, de la douceur, de l’onctuosité, un environnement aromatique de pudding anglais, de raisin de Corinthe, de pâte de fruit, le tout soutenu par un léger tabac blond. On a le velouté typique de la maison, avec des évocations d’abricot, de muscade, de praline rose sur la finale. C’est du tout bon.
www.aberlour.com

Lochlea Harvest – Édition 2023 (61 €)
La ferme distillerie Lochlea aime dévoiler des éditions qui célèbrent le moment de la récolte de l’orge. De la nervosité voire même une petite astringence en attaque, c’est un whisky qui du grip et du caractère. La palette aromatique décline des agrumes saillants, des épices, un boisé rigoureux, puis viennent des céréales, des touches miellées, de l’amande, des notes torréfiées en finale sur le café et le cacao. Persistance sur la réglisse.
www.lochleadistillery.com

Tamdhu – 12 ans (67 €)
Jolie bouteille au design vintage pour ce speyside ayant vieilli 12 ans en fûts d’Oloroso et présentant un profil gourmand. Nez de pâte d’amande, de crème de noisette, de chocolat blond. La bouche est ronde, assez crémeuse, suave et souple, enveloppée par une belle onctuosité et irisée par un tour de poivre et d’épices. On retrouve du fruit à coque, de la noix, de la figue séchée, de très fins amers de peau d’agrume en finale.
www.tamdhu.com

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[J-12] Bordeaux Tasting : les bons plans gastronomiques

Vous êtes libre le weekend du 9 au 10 décembre ? Filez à Bordeaux Tasting, au Palais de la Bourse, pour découvrir les vins de plus de 200 propriétés des plus grands crus de Bordeaux, de Champagne et d’ailleurs. L’événement n’est pas seulement consacré aux wine lovers, mais plus généralement aux épicuriens qui pourront profiter de très belles offres gastronomiques et de nombreux ateliers consacrés aux accords mets/vins.

L’adresse incontournable pour déjeuner à Bordeaux Tasting, c’est évidemment le Gabriel. Situé dans le pavillon central de la Place de la Bourse, il offre une vue imprenable sur le miroir d’eau et la Garonne. Si le cadre avec ses moulures et ses parquets de chêne est assez traditionnel, la cuisine est très contemporaine. L’établissement s’adresse à tous les publics et tous les budgets. On y trouve à la fois un bar à cocktails et tapas, un bistrot dédié à une cuisine de saison généreuse, et une table étoilée Michelin. 

Pour cette occasion, deux menus spéciaux sont proposés. L’un à 67 euros avec amuse-bouche, entrée, plat et dessert (uniquement disponible pour le déjeuner), l’autre à 80 euros avec amuse-bouche, entrée, plat, fromage et dessert (également disponible pour le dîner). Nous avons pu jeter un coup d’œil à la carte, et nous n’avons pas été déçus. Les plats sont à la fois gourmands et raffinés : raviole de foie gras, velouté de champignons ; thon blanc vivifié aux agrumes et crudités ; pièce de veau poêlée, gnocchi aux artichauds et sauge, jus au vinaigre balsamique et enfin tourtière de pomme, glace à l’amandon. Autant de mets qui pourront sublimer les cuvées de Château Olivier, Château de Chantegrive, Château Haut Bailly, Château Larrivet Haut Brion, Château Phelan Ségur, Château Soutard, Château Fleur de Lisse, Château Bellevue, Château Clos de Bouard, Château Fleur Cardinale, Vignoble Comtes Von Neipperg/Aiguilhe, Château Monlot, Château Dompierre ! Excusez du peu… (Toutes ces propriétés sont présentes sur Bordeaux Tasting)

On peut aimer le vin et ne pas bouder les cocktails. Les équipes du Gabriel vous invitent à découvrir deux de leurs créations, le Grog du Gabriel au vin et le Spritz Sour. Nous vous en communiquons les recettes en exclusivité : 

Le Grog du Gabriel au vin 
3cl de rhum gold spiced
2 cl liqueur de reine ( cerise griotte et rose ) 
2 cl liqueur gingembre des Indes 
1.5 cl jus de citron 
2 cl sirop de cannelle 
6 cl de tempo d’angelus (nous avons le Carillon d’Angelus à BT) 
Dans un verre rocks  fumé à la cannelle 

Spritz Sour
Revisite de l’Aperol spritz en sour (blanc d’œuf et citron , fine mousse sur le dessus du cocktail) 
4cl aperol
3cl gin
2cl citron 
1 cl sirop pamplemousse
1cl sirop de sucre 
2 cl blanc d œuf 
Top crémant 
Dans un verre à vin  

Enfin, ne ratez pas les « Ateliers food » de l’Ecole du vin de Bordeaux. Ici aussi, il y en a pour tous les goûts. Les visiteurs qui voudront tester leurs connaissances pourront s’essayer au Bordeaux Quizz. Les amateurs de bonne chair suivront avec délice les sessions consacrées aux accords, « Vins et fromages » pour les becs salés, « Choco’Bordeaux » pour les becs à sucre et « Accords de fête » pour les noceurs. Ceux qui veulent rester centrés sur les mystères du jus de Bacchus ne rateront pas « Bordeaux pétille » qui les plongera dans l’univers de ces bulles confidentielles que sont les Crémants de Bordeaux. Enfin, « Bordeaux Tonic » offrira une opportunité rare de percer les secrets alchimiques permettant de twister les vins de Bordeaux pour les transformer en de savoureux cocktails. Les inscriptions se font à l’entrée de Bordeaux Tasting où les horaires vous seront précisés.

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