Dans la bonne tradition des délateurs anonymes ayant sévis sous l’Occupation depuis que je chronique un commentateur anonyme me poursuit de sa vindicte fielleuse.
D’ordinaire je tire la chasse d’eau sur ses étrons puants.
Ça l’énerve de vomir dans le vide ce qui ne l’empêche pas de temps à autre de récidiver.
Aujourd’hui je fais exception à la règle pour moucher ce morveux.
Sous ma chronique :
La résistible ascension de Benoît H Nous pratiquions une forme très primaire de langue de béton brut mal décoffré, grisâtre, granuleuse, du genre de celle qu’on utilise pour se lester avant de se …read more