L’année était pourtant bien partie. Trop bien, d’ailleurs. Les douceurs de février et de mars et l’ensoleillement du printemps ont favorisé une reprise précoce de la végétation. « Nous nous sommes retrouvés avec quasiment trois semaines d’avance dans la vigne », explique Didier Cuvelier, gérant du Château Léoville Poyferré à Saint-Julien (Gironde). « C’est cette précocité qui a aggravé les dégâts occasionnés par le gel de fin …read more
