Bordeaux Tasting : 10 ans dans le rétroviseur

J-9 avant Bordeaux Tasting : alors que le festival des grands vins fête son dixième anniversaire, nous avons demandé à Rodolphe Wartel, directeur général de « Terre de Vins », de revenir sur ces 10 ans, qui ont vu l’événement s’installer comme un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les amateurs.

10 ans après la première édition de Bordeaux Tasting, quel regard portez-vous sur l’évolution de cet événement et la façon dont il s’est imposé comme un rendez-vous incontournable, chaque mois de décembre à Bordeaux ?

Je ne sais pas s’il s’agit d’un rendez-vous incontournable mais nous avons travaillé depuis dix ans pour apporter une sélection toujours plus pointue de magnifiques propriétés bordelaises, de champagnes et d’ambassadeurs venus d’ailleurs. Cette année encore, nous accueillons des grands crus qui n’étaient encore à nos côtés à Bordeaux Tasting ! C’est donc d’abord à ces propriétés que nous devons ce succès et nous devons les en remercier chaleureusement. Ce succès est d’abord le leur. Car si Bordeaux Tasting constitue un succès, c’est aussi parce qu’aucun événement ne rassemble autant de grands crus prestigieux qui s’ouvrent pendant deux jours au grand public comme aux professionnels. Chaque année, nous avons tenté d’apporter de nouveaux crus, de nouveaux espaces ou de nouvelles organisations des espaces avec, surtout, un très grand soin apporté à nos exposants et à nos visiteurs. Nous faisons travailler plus de 300 personnes pendant deux jours pour deux cents exposants environ… Bordeaux Tasting est aux événements du vin ce que le classement 4 ou 5 étoiles est à l’univers de l’hôtellerie.

Pour lancer Bordeaux Tasting il y a 10 ans, il fallait être : un peu fou ? Inconscient ? Audacieux ? A-t-il été facile de fédérer le monde du vin autour de cet événement ?

Il fallait avant tout trouver des idées de diversifications pour assurer l’équilibre économique d’un magazine appelé Terre de vins qui, après dix années d’existence, entamait une seconde vie avec un nouvel actionnariat. Éditer un magazine en France constitue un combat. Diversifier avec une activité événementielle apportait ainsi un nouveau levier de valeur qui allait être vertueux. Car si ces événements sont aussi des événements coûteux et des événements à risques, ils représentent aujourd’hui un nouveau maillon à l’engrenage que nous avons constitué en dix années au service de la filière vin.  Nous avons présenté d’abord le projet à quelques propriétaires et dirigeants de très grands crus – j’ai en mémoire Bernard Magrez, Pierre Lurton, la famille Barton, la famille Cuvelier, François Despagne… La liste est importante et je ne peux malheureusement pas citer tout le monde. Ils ont tous été très réceptifs à notre discours que l’on voulait simple : « On vous voit à Shanghai, à Hong Kong ou à Chicago mais on ne vous vois plus à Bordeaux. Gagnez à domicile et regagnez le cœur des Bordelais ! » Aujourd’hui, on vient de Paris, de Corrèze ou du Pays basque pour déguster ces grands bordeaux durant deux jours. Nous sommes très fiers d’avoir ces magnifiques châteaux à nos côtés.

En 10 ans, quels sont les plus beaux temps forts, les meilleurs souvenirs, les moments les plus émouvants – ou au contraire éprouvants ? On pense aux manifs de Gilets Jaunes notamment – que vous avez connus ?

Les anecdotes sont innombrables ! J’ai en mémoire cet élève du lycée hôtelier de Talence qui a fondu en larmes en dégustant, en coulisses, un château Montrose 1982. C’est dire l’émotion que peuvent provoquer, comme un tableau de Géricault ou de Klimt, ces prestigieux nectars. Je me souviens aussi d’une visite d’Alain Juppé que j’accompagnais avec son adjoint Stephan Delaux – grand fan de Bordeaux Tasting –  dans les allées. Un visiteur l’accoste et lui dit « Merci Monsieur Juppé d’avoir créé ce Bordeaux Tasting ! »  Il a souri et a hoché la tête comme si Bordeaux Tasting était financé par la mairie alors que nous portons 100% du budget et finançons ce Festival grâce aux châteaux et à nos partenaires, fidèles, que nous devons remercier. Sous Alain Juppé, Bordeaux Métropole nous accompagnait tout de même à hauteur de 20 000€… sur un budget de 750 000€. Depuis, plus rien.

Je ne peux pas ne pas oublier, non plus, ces fous rires avec notre ami Gérard Basset, meilleur sommelier du monde malheureusement décédé, qui fut un fidèle de Bordeaux Tasting. Nous avons dégusté avec lui les plus grands vins de Bordeaux! Et quel plaisir, aussi, de fêter la clôture de Bordeaux Tasting, chaque année, avec toute notre équipe de Terre de Vins le dimanche soir, épuisée mais tellement heureuse d’avoir apporté du bonheur à 7000 fans de grands vins.

On repart pour 10 ans de plus ? Comment voyez-vous Bordeaux Tasting continuer de grandir ? Quelles sont les évolutions possibles, les rêves, les déclinaisons ?

 La réussite de Bordeaux Tasting ne passera pas par une course au développement. Bordeaux Tasting est aujourd’hui un festival à maturité. C’est aussi pour cette raison que nous avons exporté ce concept à Lyon, avec Lyon Tasting, et à Paris avec un événement 100% champagne, Champagne Tasting. A Bordeaux, l’évolution de Bordeaux Tasting passera par plus de prémiumisation, plus de sélection, un soin encore renforcé à chaque instant et dans chaque allée, à l’accueil sans faille de nos exposants pour garantir une qualité parfaite de service de leurs grands vins. Nous ne sommes ni dans une foire, ni vraiment dans un salon mais dans un Festival qui offre une expérience où se croisent de jeunes actifs soucieux de parfaire leur connaissance, des quinquas qui veulent enrichir leur cave, des néo aquitains qui veulent faire du réseau… Respecter absolument ces grands vins, défendre ardemment leurs propriétaires dont nous sommes les avocats auprès des consommateurs et apporter toujours plus de bonheur à ceux qui nous font le plaisir de nous rendre visite. Voilà de belles perspectives…

Infos pratiques
Samedi 11 et dimanche 12 décembre 2021
Samedi : 10h-18h30*
Dimanche : 10h-18h*
*Fermeture des portes 45 minutes avant la fin des sessions.
Palais de la Bourse – Bordeaux

Réservez vos places.

Billetterie Weezevent

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Médoc : « Loudenne cherche repreneur »

Par un concours de circonstances qui semblent inhérentes à la bonne gestion du Château Loudenne, ce prestigieux cru médocain perd son actionnaire majoritaire. L’actionnaire minoritaire, la maison de cognac Camus, se lance alors à la recherche d’un partenaire. Le directeur du Château Loudenne, Philippe de Poyferré, délivre à Terre de Vins le pourquoi du comment de cette situation délicate.

Il est rare de communiquer sur la quête d’un actionnaire. Quelle en est la raison ?

Malgré la volonté conjointe et les meilleurs efforts des deux actionnaires, Kweichow Moutai et Camus, les contraintes liées aux transactions à l’étranger pour les sociétés d’état Chinoises ont rendu impossible la mise en place du plan d’investissement prévu pour le développement du Château Loudenne et donc la poursuite de son activité sous sa forme actuelle. La mise en redressement judiciaire de Loudenne permet de lever toutes les complexités cros-frontalières, et faciliter ainsi une transition rapide, dans l’intérêt de Loudenne, de ses employés, de ses partenaires et de ses consommateurs. La procédure étant publique et également contraignante, communiquer sur le fait que Château Loudenne cherche aujourd’hui un repreneur va nous permettre d’accélérer le processus de reprise pour continuer le travail de développement du vignoble et de la marque. Nous regrettons que notre partenaire historique doive se retirer de cette belle aventure à laquelle il nous a fait l’honneur de nous convier. Cyril Camus et moi-même sommes très attachés à Loudenne et convaincus de son avenir, et nous restons à la disposition du futur repreneur pour continuer, s’il le souhaite, à accompagner son développement.

Quelle est la genèse du partenariat entre Kweichow Moutai et les cognac Camus comme actionnaires de Loudenne ?

Le groupe de spiritueux chinois Kweichow Moutai a acheté la propriété médocaine iconique en 2013, dans le cadre de la politique d’expansion internationale alors promue par la Chine auprès de ses entreprises d’Etat. Distributeur historique de la marque Moutai sur les marchés du Duty-Free, la maison cognaçaise Camus est devenue actionnaire minoritaire du Château en 2016 pour accompagner le repositionnement du Château avec un programme d’investissements ambitieux.

Pouvez-vous faire le bilan du travail que vous avez réalisé depuis votre arrivée ?

Depuis 2016, beaucoup de choses ont été accomplies grâce au soutien de Moutai et de Camus : la réorganisation de l’équipe qui est maintenant soudée, opérationnelle et polyvalente ; le renouvellement du vignoble avec 10 hectares replantés en adéquation avec le terroir et un programme de complantation ; une conversion au bio maintenant terminée avec succès et le remplacement de l’ensemble du matériel viticole ; également le renouvellement du matériel du chai ; la montée en qualité de vins qui est reconnue par la critique internationale ; la dynamisation de l’activité oenotouristique ; la redéfinition de la plateforme de marque et la refonte des réseaux de distribution. Je dois dire que nous sommes particulièrement fiers du travail accompli auprès de Loudenne depuis 5 ans, avec aujourd’hui une équipe de grande qualité, un vignoble certifié en Agriculture Biologique, et une marque rajeunie et impactante sur ses marchés.

Philippe de Poyferré

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Mouton Rothschild dévoile l’étiquette de son 2019

Comme chaque année depuis 1945, Château Mouton Rothschild, 1er Grand Cru Classé 1855 (Pauillac), a fait appel à un artiste pour illustrer l’étiquette de son nouveau millésime disponible à la vente. C’est Olafur Eliasson, artiste danois et islandais, qui signe donc l’étiquette du millésime 2019 avec une œuvre baptisée « Solar Iris of Mouton ».

Né en 1967, Olafur Eliasson a été formé à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Copenhague. Il travaille aujourd’hui à Berlin, où le studio qui porte son nom réunit une équipe pluridisciplinaire composée notamment d’architectes et d’historiens d’art. Il s’exprime aussi bien par la sculpture, la peinture, la photographie, le film ou le numérique. Julien de Beaumarchais de Rothschild, copropriétaire de Château Mouton Rothschild et en charge du suivi et de la réalisation de l’étiquette, explique le choix de cet artiste danois et finlandais pour habiller l’étiquette du millésime 2019. « Fasciné » par l’œuvre d’Olafur Eliasson depuis de nombreuses années, il a été définitivement conquis par l’exposition de ce dernier au château de Versailles en 2016, se disant : « Un jour, s’il le veut bien, Olafur Eliasson sera un des artistes de Château Mouton Rothschild ». Son art va à l’essentiel. Pour Mouton Rothschild, il a aussi su capter l’essentiel : le temps, le retour des saisons et le soleil au centre de toutes choses, mais traités cette fois en forme de diagramme. »

L’œuvre qui illustre en effet le millésime 2019 de Mouton, baptisée « Solar Iris of Mouton », se veut ainsi une célébration de « l’alliance du soleil et du vin ». Solar Iris of Mouton se divise en deux parties horizontales : la partie supérieure qui représente le jour avec ses teintes dorées, l’autre la nuit avec ses notes bleu foncé. Elles entourent l’oculus qui représente Château Mouton Rothschild. Autour, une série d’ellipses forment un anneau qui retrace le parcours du Soleil par rapport à la Terre, « à l’endroit même où se situe le château à Pauillac ». L’arc de cercle le plus bas représente le jour le plus court de l’année et, le plus haut, le jour le plus long.

Pour Olafur Eliasson, « Solar Iris of Mouton est la cartographie de tous les levers et couchers de soleil au cours d’une année entière à Château Mouton Rothschild. Chaque heure du jour et de la nuit qui participe au cycle de la vigne y étant représentée, elle est en quelque sorte la signature solaire du vignoble, elle nous parle de ses conditions de croissance et de la relation intime entre le vin et son lieu d’origine. Déguster un vin, c’est entrer en contact avec un lieu, un sol, un climat, des saisons, une lumière. Le vin qui se laisse apercevoir à travers l’oculus au centre de l’étiquette porte en lui l’astre doré, la terre et le ciel : il est à la fois l’expression d’un terroir bien localisé et porte l’empreinte du cosmos. »

www.chateau-mouton-rothschild.com

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Pierre Hermé craque pour De Sousa

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Notre rendez-vous vidéo « D’accord ! » de ce mois de décembre autour des accords mets & vins, rassemble le chef pâtissier Pierre Hermé et la maison de champagne De Sousa implantée au cœur de la prestigieuse Côte des Blancs depuis trois générations, sur des terroirs classés Grands Crus tels qu’Avize, Cramant, Oger et Mesnil/Oger.

Elu Meilleur Pâtissier du Monde en 2016 et nommé 4e personnalité française la plus influente au monde la même année par le magazine Vanity Fair, le chef Pierre Hermé imagine des associations de saveurs inédites. Cette fois-ci, il a cherché, pour Terre de Vins, à associer l’élégance et la puissance gastronomique de la cuvée des Caudalies Rosé de la maison De Sousa avec la gourmandise de l’Infiniment noisette.

L’accord pourra facilement accompagner votre table de fête.

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Oeneo mise sur la recherche

Quelques 1000 salariés, 280 millions de chiffre d’affaires, une croissance flirtant avec les +20% pour 2021, Oeneo, dirigé par Dominique Tourneix, regroupe Diam, Seguin Moreau et Vivelys. Des activités complémentaires liées par un investissement soutenu en recherche & développement.

Le salon Sitevi est bondé, est ce un baromètre de santé pour vos activités ?

Nous avons deux activités distinctes qui réagissent à des critères différents. L’activité de bouchage avec Diam, présent dans 80 pays, est en pleine effervescence. C’est l’effet de la relance, un phénomène de récupération après la fermeture des restaurants et aussi une réaction d’anticipation, car la profession craint la pénurie de matières sèches (tout en dehors du vin lui-même). On embouteille en masse donc le secteur bouchon est très sollicité. Nous avons même dépassé les chiffres de 2019. La mise en bouteille dépend beaucoup de la conjoncture, à l’inverse, en amont, la production elle-même, donc le conseil et l’élevage des vins, soit les domaines de Vivelys et Seguin Moreau, sont fortement soumises aux aléas climatiques.

Quelle est votre réponse à ce millésime difficile ?

Ce sont les solutions œnologiques issues de nos investissements de long terme dans la recherche. Nos contrats avec les universités et centres de recherche oscillent entre 2 et 3 millions d’euros. L’Institut supérieur de la vigne et du vin à Bordeaux, l’université de Bourgogne, de Davis aux Etats Unis, Naples, Geisenheim, tout cela montre que le vin se professionnalise et fait appel à des techniques de pointe. Diams Origine, un bouchon haute technologie à base de liège, d’huile de lin et cire d’abeille ; la maîtrise de l’oxygénation au cours des vinifications, la recherche des précurseurs d’arômes dans le bois des barriques nous permettent d’accompagner les vignerons qui recherchent de la précision et donc de la valeur ajoutée. Une quarantaine de personnes sont dédiées à la recherche sur nos trois entités. Lorsqu’on entrait dans une cave avec un ordinateur il y a vingt ans, c’était presque une insulte, ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Quels sont les défis qui vous attendent ?

Les mêmes que ceux de la filière. Tout ce qui concerne la gestion des aléas climatiques et la protection de la ressource, pour le bois destiné aux barriques, pour le liège, pour les composants d’origine naturelle entrant dans la fabrication des bouchons. La gestion de l’énergie et de notre empreinte carbone. Et toujours l’innovation, quitte à bousculer les pratiques et les croyances, en 2022, nous devrions proposer des innovations majeures dans nos trois secteurs d’activités.

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[Hors-série] « Éclatants champagnes » pour la fin d’année

Le traditionnel hors-série Champagne de « Terre de Vins » arrive dans les kiosques cette semaine. 116 pages intégralement dédiées au roi des vins effervescents. Portraits, entretiens, reportages, dégustations, accords mets & bulles… Tous les ingrédients pour une fin d’année pétillante.

C’est un rendez-vous que les amateurs ne manqueraient pour rien au monde, et qui est d’autant plus attendu après une année 2021 pour le moins chahuté. Le hors-série Champagne de « Terre de Vins » fait son retour dans les kiosques, et comme à son habitude, il offre un tour d’horizon complet de l’actualité champenoise. 116 pages entièrement dédiées aux bulles, donc, et pas n’importe lesquelles : celles qui font rêver le monde entier. Et pour accompagner dignement le prestige du champagne, c’est à un grand ambassadeur du patrimoine et du savoir-vivre français, Stéphane Bern, que nous avons donné la parole. Lauréat du dernier Trophée Gosset, cet amoureux d’histoire et de grands terroirs nous fait partager sa passion du champagne.

Ce hors-série fait la part belle aux femmes de champagne : à travers un sujet dédiée aux cheffes de caves qui bousculent la région (Julie Cavil chez Krug, Séverine Frerson chez Perrier-Jouët, Alice Tétienne chez Henriot, Nathalie Laplaige chez Joseph Perrier, Carine Bailleul chez Castelnau) et un entretien « sur le divin » avec Berta de Pablos-Barbier (Moët & Chandon). Au fil des pages, on débusque talents et terroirs, entre les deux frères Thomas et Matthias du domaine familial Joseph Desruets, une immersion au cœur du légendaire Clos des Goisses de la maison Philipponnat, une exploration du projet Pressoria à Aÿ, une escapade autour de la Montagne de Reims, une autre autour des nouveautés œnotouristiques en champagne, une rencontre avec le champion olympique d’escrime Romain Cannone (qui envisage une reconversion en tant que vigneron), une saga sur la famille Tarlant…

Côté dégustation, le traditionnel passage en revue des meilleurs BSA (Brut Sans Année), des pépites piochées parmi les cépages « minoritaires » de la Champagne (petit meslier, pinot gris vrai, pinot blanc) ou parmi des cuvées sans soufre, une sélection de millésimés allant de 2018 à 1996, une verticale William Deutz, des cocktails à base de champagne, et pour finir, une escale gourmande au restaurant Substance à Paris, autour des accords mets & bulles… Vous faut-il davantage de raison pour faire sauter un bouchon ?

« Terre de Vins » hors-série Champagne, 116 pages, 7 €.
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L’Avent du vin #1 – Gaillac chez vous

Le compte à rebours avant Noël est lancé ! Si vous manquez d’idées, que nous n’avez pas encore trouvé vos cadeaux, ou que vous souhaitez juste vous faire plaisir, chaque année, Terre de vins se porte à votre secours. Notre calendrier de l’Avent fourmille de bonnes idées, de belles bouteilles, de beaux livres, de flacons de champagne indispensables…

Envie de faire découvrir autrement le vignoble de Gaillac? Voici une première idée cadeaux avec une box découverte « Gaillac Chez Vous ». Cette box, véritable coffret de dégustation, se décline autour de deux thématiques au choix: « Les Emblématiques » et « Les Autochtones ».

Chaque coffret se compose de 3 vins élaborés avec des cépages typiques du vignoble de Gaillac, d’un sachet de biscuits apéritifs locaux confectionnés par une biscuiterie artisanale Tarnaise, de 3 fiches informatives sur chaque domaine et cuvées, de 3 fioles comprenant des échantillons de terre des différents terroirs Gaillacois

Tarif : 40 € TTC (hors frais de port)
Où les trouver : en ligne www.vins-gaillac.com, sur place au caveau de la Maison des Vins de Gaillac ou auprès des partenaires : Office du Tourisme Bastides et Vignoble, Tarn Tourisme…

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