Avec la froidure, après mes envies de pot-au-feu viennent celle de poule au pot.
Comme je suis graphomane j’ai déjà écrit le 13 février 2013 :
Dès que le mercure se paye une déprime, qu’il dévisse au-dessous de zéro, un temps d’engelures que je n’ai jamais eu, qu’on se caille les miches ou les glaouis, me prends des envies, des folies de viande bouillie : au choix le pot-au-feu ou la poule au riz. L’avantage avec la viande bouillie c’est que par définition elle te permet de faire du bouillon, du bouillon gras avec plein de zieux dedans. Comme dirait …read more