Mercredi matin alors que je pressais mes oranges pour mon petit-déjeuner j’entends sur France Inter que nous risquions, faute aux pesticides, de ne plus entendre le chant mélodieux de l’alouette, j’en suis presque tombé à la renverse.
La journaliste indiquait que ce cri d’alarme émanait de chercheurs du Centre d’Ecologie et des Sciences de la Conservation (CESCO : Muséum national d’Histoire naturelle / CNRS / UPMC – Sorbonne Universités) qui ont étudié l’impact sur les chauves-souris et les oiseaux de différentes pratiques agricoles.
» La biodiversité dans les campagnes subit une sévère érosion dont l’intensification agricole est une des causes …read more