Quand ils discutaient, et surtout lorsqu’elle se passionnait, Marie jouait en permanence avec le troisième bouton de ses corsages, Benoît adorait ce geste léger, instinctif. Voulait-elle le défaire ou vérifiait-elle qu’il fût bien en place ? Balancement ou équilibre, il se régalait avec volupté, du jeu de son pouce et de son index. Parfois, dans le feu de la conversation, la barrière du troisième bouton tombait, les pans du corsage s’entrouvraient, laissant apparaitre la naissance de la gorge de ses seins. Il la désirait alors, avec une force brutale, il bandait, se réfrénait. Souvent, Benoît se levais pour lui …read more