Vendredi matin dernier, mon goût immodéré pour le farniente, soleil aidant – oui, oui, le voilà qui pointait le bout de ses rayons pour mieux repartir me dit-on – me jetait dans les bras de deux ami(e)s Éva Robineau et Laurent Bazin pour qu’ils fassent mon job à ma place : écrire une chronique sur un des défricheurs du champagne tel que je l’aime, la cuvée FidèleVouette et Sorbée de Bertrand Gautherot.
Tout était parti d’une belle invitation à venir, à Ici-Même, sur l’autre rive de la Seine, goûter les nouvelles cuvées de la maison Gautherot, Bertrand et Hélène. <a class="colorbox" …read more