Les délices de la gastronomie hospitalière : lettre à Martin Hirsch le boss de l’AP/HP pour une prise en compte de l’importance de la nourriture

By JACQUES BERTHOMEAU

La semaine débutait donc à la chambre 4 du service des soins courants en pneumologie. La journée est prise en main à 8 heures par l’infirmière de service – j’ai eu par la suite un infirmier de nuit Quentin, remarquable – lestée de 2 aides-soignantes – qui assurent le service d’intendance. C’est militaire, chacun sa tâche, c’est important pour le patient dépendant. Accéder aux fonctions naturelles, si routinières d’ordinaire, requière leur assistance. Appuyer sur cette foutue sonnette se gère, entre le pressant et ce qui peut attendre.

Le plus difficile pour moi fut les 3 nuits du lundi, mardi, mercredi …read more