J’abandonne sur une chaise le journal du matin
Les nouvelles sont mauvaises d’où qu’elles viennent
J’attends qu’elle se réveille et qu’elle se lève enfin
Je souffle sur les braises pour qu’elles prennent
Cette fois je ne lui annoncerai pas
La dernière hécatombe
Je garderai pour moi ce que m’inspire le monde
Elle m’a dit qu’elle voulait si je le permettais
Déjeuner en paix, déjeuner en paix…
… OÙ LA MORT RODE.
06/06/2018
Au milieu de cette beauté printanière, le mildiou, nous guette, comme un coupe-jarret au détour d’une ruelle.
C’est la mauvaise nouvelle de l’année. On lutte. On est équipé. On est prévenu. Mais ce n’est pas le cas de …read more