« Je suis d’une génération où il fallait faire silence. J’ai fait mes classes dans des écoles catholiques… »

By JACQUES BERTHOMEAU

Le grand silence à l’école d’agriculture Notre-Dame de la forêt commençait dès la fin du dîner jusqu’au lendemain matin où nous étions réveillé dans le grand dortoir par un tonitruant  » Dieu soit béni auquel nous devions répondre  » à jamais en quittant notre lit avant d’allant torse nu, quel que soit la température, faire nos ablutions sous les robinets d’eau froide. Il n’était rompu qu’au moment du petit déjeuner.

Bien sûr, nous ne le respections pas toujours, le surveillant ne pouvant tous nous contrôler, mais dans cet internat, comme dans tous les internats, le silence était roi.

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