Malgré la qualité qui s’affirme de plus en plus fermement pour ce millésime, le PDG de la maison de négoce bordelaise Millésima appelle à la raison en terme de fixation des prix, pour éviter un regain de Bordeaux bashing.
» Même si 2017 est qualitatif, car c’est un millésime très proche de 2014, pour moi, les prix doivent être à la baisse, répond sans tergiverser Fabrice Bernard. Aujourd’hui, à Bordeaux, nous ne faisons plus de mauvais vins. On a trois niveaux : les vins exceptionnels comme 2009, 2010, 2015, 2016, qui sont des vins de très longue garde, des millésimes comme …read more