Armand suite, à un séjour hallucinant dans une planque de la GP pleine d’odeurs mêlées, le rance des corps non lavés, le fade des chaussettes et l’âcre du tabac froid, où, sous la poigne inflexible de Victor, les frelons avaient dû, les uns après les autres, faire leur autocritique, se portait candidat pour changer de bord. Les ordures du SAC pesaient bien plus lourd que tous ces brillants intellectuels, où supposés tels, qui se complaisaient dans l’autoflagellation, en redemandaient, ânonnaient une langue de bois digne du Petit Livre Rouge de Mao mais en plus terne. Dans la bande, le seul …read more
