Vous connaissez mon amour de l’Italie.
Le 7 mars 2008 je livrais une chronique :
Coppi et Bartali : les campionissimi et le Chianti ICI
Curzio Malaparte dans » Coppi et Bartali Les deux visages de l’Italie, écrit en français, notait :
» Dans la rivalité de Bartali et de Coppi, peut-être, Pindare ne verrait que le symbole des luttes, des souffrances, des sacrifices, des espoirs de nos générations offrent à la liberté, à la paix, au bonheur des hommes et des nations.
Gino Bartali, qui gagna son deuxième Tour de France en 1948, à …read more